En tant que DAF, vous avez probablement constaté l’évolution de votre rôle. Chaque jour, l’actualité nous abreuve sur les innovations en matière d’IA, les conditions macroéconomiques difficiles et l’évolution des comportements des consommateurs, ce qui impacte la conception du rôle du DAF dans les petites et moyennes entreprises (PME).
Il peut vous sembler assommant de vouloir suivre le rythme de tous ces changements. Comment s’y retrouver et se préparer au succès ?
Dans cet article, nous examinons ce que les PME attendent de leur DAF, les défis auxquels votre rôle est confronté et sept bonnes pratiques grâce auxquelles vous serez un leader stratégique au sein de votre entreprise.
Les quatre rôles d’un DAF de PME d’aujourd’hui
Les PME d’aujourd’hui exigent davantage de leur DAF qu’auparavant. Votre entreprise attend très probablement que vous assumiez ces quatre rôles en tant que DAF d’une PME :
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Être moteur pour la pérennité de l’activité
- Offrir des perspectives dans un avenir incertain
- Être un conseiller stratégique
- Mener la transformation de l’entreprise
Découvrons comment vous pouvez remplir ces fonctions avec succès.
Rôle un : Être moteur pour la pérennité de l’activité
Le rôle du DAF est peut-être en train de changer, mais ses missions traditionnelles n’ont pas disparu pour autant. Chris Martinez, responsable de l’analyse financière chez The Kraft Heinz Company, en énumère quelques-unes.
« Les entreprises attendent toujours des DAF qu’ils exécutent des missions traditionnelles fondamentales pour la santé financière et l’efficacité opérationnelle de l’organisation », explique-t-il. « Le DAF doit gérer le fonds de roulement de l’entreprise, préparer des états financiers fiables, élaborer et gérer le budget de l’organisation, et s’efforcer d’optimiser les dépenses. »
Kirk Kappelhoff, directeur financier stratégique chez Drivetrain, souligne que le DAF ne doit pas exécuter lui-même toutes ces missions. « L’étendue du rôle du DAF a vu disparaître des aspects financiers plus traditionnels au profit de la création d’une nouvelle fonction : le contrôleur de gestion », explique-t-il.
« Ces opérations [traditionnelles] relèvent toujours du DAF mais sont déléguées au contrôleur qui en assure la gestion effective. »
Aleksandar Stojanovic, PDG et fondateur de Fiscallion, société de conseil en direction financière et FP&A (planification et analyse financières), affirme que les tâches traditionnelles du DAF ont encore beaucoup de valeur pour les entreprises.
« Des audits financiers réguliers et l’adoption d’outils numériques pour les rapports financiers peuvent rationaliser les processus et garantir la conformité et l’exactitude financière », ajoute-t-il.
« J’ai mis en place dans mes fonctions précédentes un système de suivi dynamique des flux de trésorerie. Ce système s’est avéré essentiel pendant une période de croissance rapide, car il nous a permis de prendre des décisions éclairées en matière d’investissements et de dépenses opérationnelles. »
En bref : Malgré l’évolution stratégique de sa fonction, les tâches traditionnelles du DAF permettent toujours d’avoir un impact positif.
Offrir des perspectives dans un avenir incertain
Les marchés des PME évoluent constamment et de manière inattendue. Aleksandar Stojanovic cite un exemple dont de nombreux DAF ont probablement fait l’expérience. « J’ai conduit un recentrage stratégique lors de la pandémie de COVID-19, lorsque nous nous sommes concentrés sur des segments de marché plus résistants ».
« Il a fallu analyser les tendances du marché et adapter notre stratégie financière en conséquence », explique-t-il. À la question de savoir ce qu’un DAF peut faire pour surmonter de tels obstacles, Aleksandar Stojanovic répond qu’il est essentiel de rester à l’écoute des tendances émergentes du marché.
Il indique qu’« Il est essentiel d’actualiser régulièrement les modèles et les projections financières en fonction des données les plus récentes du marché ».
Kirk Kappelhoff pousse encore plus loin cette observation. « La segmentation des changements macroéconomiques en petits éléments sert en quelque sorte de phare et guide le DAF sur la voie d’indicateurs qui comptent », explique-t-il.
« Augmentez la granularité. Segmentez un macrochangement en microéléments et analysez les facteurs du macrochangement au niveau microéconomique. L’idée de Malcolm Gladwell selon laquelle 80 % d’une activité donnée peuvent être attribués à 20 % des facteurs est toujours d’actualité. »
Christoph Ott, DAF chez Dizmo, estime que le DAF peut apporter une certaine sérénité à son entreprise en période d’incertitude.
« Le DAF peut établir des ponts de manière efficace entre services, en favorisant une communication transparente et la visibilité des ressources », explique-t-il.
« Cette collaboration devient particulièrement indispensable dans un climat économique défensif ; il s’agit en effet de veiller à ce que les différents services soient soutenus et de travailler de manière collaborative pour obtenir des résultats optimaux. »
En bref : Le contexte évolutif vous permet de vous positionner en tant que guide de confiance. L’établissement de scénarios, la prise de décision motivée par des données et les tests de résistance de votre entreprise effectués en temps normal vous aideront à vous préparer pour les temps difficiles.
Être un conseiller stratégique
La communication narrative est une compétence essentielle pour le DAF d’aujourd’hui. Vous devez dépasser la simple surface des chiffres et traduire ce qu’ils impliquent pour votre entreprise. Ces informations aident le PDG à faire avancer l’entreprise.
Christoph Ott l’explique ainsi :
« L’implication stratégique du DAF dans la prise de décision concernant la priorisation des investissements et les coupes budgétaires est primordiale. Le fait de collaborer étroitement avec le directeur général et d’établir des relations solides avec les dirigeants de l’ensemble de l’organisation favorise une prise de décision efficace. »
En travaillant avec le PDG, vous pouvez comprendre le contexte dans lequel s’inscrivent les projets d’expansion et modéliser le risque commercial en conséquence. Une telle collaboration vous aidera également à analyser le profil risque-rendement d’une opportunité.
Vous pourriez par exemple vous approvisionner en marchandises à bas prix au niveau international, mais les procédures bureaucratiques pourraient menacer les bénéfices à l’avenir. Hubert Roth, directeur général de Mecheltron GmbH & Co. KG et client d’iBanfirst, en donne un exemple.
« La Chine représente une grande variété de sources d’approvisionnement et d’opportunités de vente », explique-t-il. « Mais les problèmes de qualité constituent le problème le plus important de l’approvisionnement en marchandises ».
« L’exportateur doit alors réimporter les marchandises par les canaux adéquats et supporter des droits d’importation considérables », explique-t-il. « À cela s’ajoutent les frais de transport. Cela [le renvoi des marchandises] n’en vaut donc souvent pas la peine. En cas de doute, on se retrouve donc avec des marchandises défectueuses. »
Un DAF prévoyant peut modéliser l’impact des produits défectueux sur le résultat net et les coûts liés à l’ouverture d’un bureau international pour contrôler la qualité des produits, et ainsi présenter une image précise de la meilleure voie à suivre.
En bref : Le DAF ne doit pas se contenter d’établir des rapports, mais doit offrir des perspectives stratégiques en communiquant grâce à des récits.
Mener la transformation de l’entreprise
« Le DAF doit donner la priorité aux investissements technologiques qui offrent des gains d’efficacité immédiats et une valeur stratégique à long terme », déclare Aleksandar Stojanovic. « Il est important d’équilibrer le budget entre gains rapides et grandes initiatives numériques. »
Il cite un exemple de contribution à la transformation numérique dans le cadre d’une fonction antérieure : « J’ai dirigé un projet de transformation pour la numérisation de notre système de facturation. Cela a permis non seulement d’améliorer l’efficacité, mais aussi de disposer de meilleures analyses de données pour la prise de décisions financières. »
Chris Martinez souligne que la transformation comporte un élément « humain » qui dépasse les choix technologiques. « Je pense que le DAF doit donner la priorité à l’investissement dans des programmes de formation et de développement pour renforcer les compétences numériques de l’équipe financière et des autres employés », déclare-t-il.
« Cela signifie que le personnel est équipé pour gérer efficacement les nouveaux outils et technologies numériques ».
Kirk Kappelhoff va plus loin en ce sens :
« Le DAF qui est à l’écoute de ses collaborateurs au quotidien est celui qui connaît le bon moment pour passer au numérique », affirme-t-il.
« Votre équipe vous dit qu’elle est débordée ? Il est temps de passer au numérique. Quel outil convient à mon organisation ? Demandez à votre équipe ! »
Christoph Ott estime que le DAF doit être le fer de lance de la collaboration pour mieux appréhender les projets de transformation numérique.
« Le DAF est aux avant-postes de la numérisation et de la mise en œuvre efficace des nouvelles technologies au sein des différents départements », explique-t-il. « De plus, la promotion de la collaboration entre services, en particulier entre les services financiers et informatiques, est essentielle pour une intégration harmonieuse des nouvelles technologies. »
En bref : Le DAF doit dépasser le cadre de la finance pour s’intéresser aux avantages que les transformations technologiques procurent à son entreprise.
Les défis du DAF de PME
Quels sont les obstacles qui empêchent le DAF de remplir les quatre rôles qu’une PME attend de lui et que nous venons de voir ?
Selon des rapports récents du secteur financier, les facteurs suivants constituent les principaux défis pour un DAF :
- Incertitude économique
- Concilier innovation et budget
- Rester en phase avec l’évolution des rôles et des attentes
Voyons en détail ce qui empêche les DAF de dormir.
Incertitude économique
Les principaux facteurs ayant un impact sur la croissance future des entreprises selon les DAF. Datarails
Le 2023 SMB CFO Sentiment Report de Datarails a révélé qu’une situation macroéconomique incertaine est source de complications pour la stratégie des DAF. La hausse des taux de change et des taux d’intérêt est particulièrement préoccupante.
L’examen du large éventail de ces préoccupations (des perturbations de la chaîne d’approvisionnement aux prix de l’énergie) révèle l’étendue du champ d’action du DAF d’aujourd’hui.
Même s’il n’est pas facile de s’y retrouver dans ces conditions, les informations présentées dans la section précédente vous aideront à préparer votre entreprise à la réussite.
Concilier innovation et budget
Les priorités à long terme du DAF qui sont confrontées à des réductions à court terme. EY
La plupart des DAF savent qu’il est important d’assurer la pérennité de leur entreprise grâce à l’innovation. Cependant, les programmes qui soutiennent ces évolutions se heurtent aux contraintes budgétaires des entreprises.
Le 2023 Global EY DNA of the CFO Report d’EY met certains de ces conflits en évidence.
Les technologies et l’innovation numérique arrivent en deuxième position des contraintes les plus aiguës, alors même que leur importance est bien comprise au sein de toute entreprise.
La leçon à tirer pour le DAF est donc de hiérarchiser les programmes d’innovation en fonction de la criticité et de l’urgence.
Par exemple, l’affectation de ressources à la gestion du risque de change est essentielle pour préserver les bénéfices de l’entreprise qui exerce ses activités au sein de plusieurs zones géographiques et dans plusieurs devises. Le DAF doit peser cet avantage par rapport à d’autres initiatives (comme l’automatisation de la comptabilité fournisseurs) afin d’équilibrer innovation et contraintes budgétaires.
Rester en phase avec l’évolution des rôles et des attentes
D’après le rapport d’EY, les DAF de PME se trouvent dans une situation délicate. La fonction du DAF a plus que jamais la capacité d’influer sur l’entreprise, mais il est devenu difficile pour lui de s’y retrouver.
Le parcours du DAF est de plus en plus complexe. EY
Le premier constat de ce graphique est édifiant. Les entreprises ont besoin de DAF capables d’interpréter des données plutôt que de produire des rapports, ce qui explique probablement pourquoi un manque d’expérience en finance n’est pas rédhibitoire pour ce type de poste.
Comme indiqué précédemment par Kirk Kappelhoff, les entreprises attendent des contrôleurs de gestion qu’ils assument ces tâches traditionnelles. Le DAF d’aujourd’hui doit donc se concentrer sur les données afin de se présenter comme un partenaire stratégique efficace pour son entreprise.
7 bonnes pratiques pour le DAF d’aujourd’hui
Que devez-vous faire au vu de toutes ces informations ? Quelle démarche pouvez-vous adopter pour vous aligner sur les attentes de l’entreprise et relever ces défis ?
Voici sept bonnes pratiques pour le DAF d’aujourd’hui :
- Préparez-vous à la volatilité
- Adoptez les technologies
- Repensez vos KPI
- Encouragez la collaboration
- Structurez votre service financier pour l’avenir
- Créez un état d’esprit orienté données
- Réalignez votre service financier en fonction de l’expérience client (CX)
Examinons ces bonnes pratiques de plus près.
Préparez-vous à la volatilité
Si la volatilité économique vous préoccupe, prenez-la à bras-le-corps.
Une gamme variée de produits financiers est à votre disposition pour atténuer les risques de fluctuation des devises. Faites équipe avec un spécialiste du change fiable qui peut vous aider à évaluer les avantages, les coûts et les risques associés tout en gardant les objectifs de votre entreprise au premier plan.
Aleksandar Stojanovic recommande l’étude des marchés internationaux, en particulier les marchés émergents qui connaissent une forte volatilité. « Le fait de travailler sur un marché volatil en Asie du Sud-Est m’a appris l’importance d’une planification financière souple et la nécessité de disposer de solides plans d’urgence », explique-t-il.
« La formation continue dans des domaines tels que le risque de change et les tendances économiques mondiales est essentielle pour être capable de s’adapter ».
Adoptez les technologies
La technologie est un atout pour la finance qui joue un rôle essentiel dans la structuration de votre service financier. Donnez aux membres de votre équipe les moyens de découvrir les possibilités offertes par la technologie et expliquez-leur comment, grâce à elle, ils peuvent travailler plus intelligemment — et pas plus dur !
Charley Hochet, DAF de Docshipper et client d’iBanFirst, témoigne de l’impact transformateur de la technologie dans la finance.
Son expérience montre que l’intégration d’iBanFirst a permis de rationaliser les paiements internationaux en facilitant et en accélérant le processus, de réduire les coûts pour Docshipper, et aussi de bénéficier d’un avantage concurrentiel non négligeable. Il précise :
« Nous pouvons facturer nos clients dans leur monnaie locale. Cela fait toute la différence pour eux de savoir qu’ils n’auront pas à se préoccuper des taux de change ».
Alors que l’impact de la technologie dépasse les paiements internationaux et touche désormais des domaines tels que la comptabilité et la facturation, certaines personnes pourraient être réticentes à l’idée que la technologie puisse remplacer leur fonction. Insistez sur la nécessité d’évoluer et encouragez une perspective où la technologie n’est pas perçue comme une menace, mais comme un outil indispensable pour améliorer et perfectionner ses compétences. Invitez-les par exemple à découvrir les avantages de ChatGPT pour la finance.
Le DAF visionnaire ouvre la voie en tirant parti de la technologie pour faciliter les tâches routinières, ce qui permet à ses équipes de se concentrer sur des activités à plus forte valeur ajoutée.
Repensez vos KPI
La définition des KPI financiers est une tâche essentielle ; assurez-vous donc que vos KPI sont :
- Pertinents pour votre entreprise
- Périodiquement revus par votre équipe
- Présentés dans un tableau de bord intuitif
- Actualisés en temps réel autant que possible
- En phase avec le contexte international (budget des taux de change, par exemple)
Encouragez la collaboration
Les entreprises attendent du DAF qu’il apporte une contribution stratégique, et la collaboration est le meilleur moyen pour vous de disposer d’une vision plus précise de l’activité de votre entreprise. Chris Martinez met en avant la promotion des projets de transformation numérique comme exemple d’une collaboration porteuse d’évolutions.
« Il s’agit de travailler en collaboration avec les services informatiques et d’autres services pour élaborer une stratégie numérique alignée sur les objectifs financiers de l’entreprise », explique-t-il.
« Cela implique d’appréhender l’importance des initiatives numériques en matière de croissance du chiffre d’affaires, de réduction des coûts et de gains d’efficacité. »
Cette collaboration vous aidera à concilier investissements technologiques et contraintes budgétaires.
Structurez votre service financier pour l’avenir
La structure de votre service financier doit évoluer avec la réalité. La technologie est aujourd’hui un atout, mais vous devez l’exploiter en vous appuyant sur les bonnes compétences.
Voici quelques moyens d’y parvenir :
- Étudiez les possibilités d’automatisation dans la finance opérationnelle
- Priorisez les compétences en matière d’analyse de données dans les fonctions stratégiques telles que la FP&A
- Passez périodiquement en revue la structure de votre service afin d’en assurer l’efficacité
- Suivez les bons influenceurs de la finance pour rester en phase avec les tendances actuelles
Créez un état d’esprit orienté données
Le DAF et le service financier sont régulièrement amenés à peser le pour et le contre de plusieurs projets. Il est essentiel de se saisir des données pour prendre les décisions qui s’imposent.
« Le DAF doit procéder à une modélisation financière et à une analyse du retour sur investissement (ROI) des projets », indique Chris Martinez. « Cela permet d’évaluer la viabilité financière de ces initiatives et de déterminer leur impact potentiel sur les résultats de l’entreprise. »
« Plaidez en faveur d’une culture d’adoption des innovations numériques », poursuit-il. « Il s’agit d’encourager l’adoption d’outils et de pratiques numériques dans l’ensemble de l’organisation et de favoriser un environnement dans lequel la transformation numérique est considérée comme un facteur clé de réussite pour l’avenir. »
Là encore, la collaboration avec les services informatiques et techniques vous permettra de comprendre comment votre entreprise stocke les données et quel type d’analyse est possible grâce à son infrastructure.
Le fait de comprendre cela vous aidera à prioriser les investissements numériques adéquats afin de fournir de meilleures données à votre équipe, ce qui vous permettra ainsi d’obtenir de meilleures indications et perspectives.
Réalignez votre service financier en fonction de l’expérience client (CX)
Les entreprises ont longtemps considéré la finance comme une fonction de back-office, mais cette vision évolue rapidement. Le DAF doit réorienter ses services pour apporter des conseils stratégiques à son entreprise.
L’expérience client (CX) est la boussole de votre équipe. Encouragez votre équipe à mieux comprendre les besoins des clients et sensibilisez les équipes financières en contact avec la clientèle (par exemple la gestion des comptes clients) à l’expérience client (CX).
Par exemple, grâce aux investissements technologiques, il est possible d’aligner les ventes et le service des comptes clients, ce qui permet d’éliminer les erreurs de facturation courantes et donc des litiges. En retour, l’équipe chargée des comptes clients aura plus de temps pour traiter les problèmes complexes qui demandent une approche personnalisée.
Il en résulte une expérience marquante pour les clients, ce qui permet d’établir des relations solides avec eux.
Comment allez-vous vous adapter à l’évolution du rôle de DAF ?
La finance et le rôle du DAF ont toujours connu des évolutions. Selon Kirk Kappelhoff, la meilleure façon d’aller de l’avant est d’accepter le changement sans réserve.
« L’histoire est faite de changements, mais ces changements se font à un rythme de plus en plus rapide », déclare-t-il.
« Un DAF qui réussit, c’est un leader qui sait s’adapter », conclut-il.
« De nouveaux indicateurs apparaissent chaque jour, les industries se développent et disparaissent du jour au lendemain. Le DAF qui parvient à se montrer enthousiaste dans un monde en constante évolution aura toujours l’énergie pour continuer. »
