Pour gagner en compétitivité, les entreprises de la Healthtech doivent aujourd’hui réfléchir à l’échelle internationale. La maîtrise de leurs flux financiers est dans ce contexte un enjeu majeur.
La France, grâce à sa forte culture de la santé, aux nombreux dispositifs conçus pour encourager la recherche et l’innovation scientifiques, est un terreau fertile.
Les entreprises françaises partent avec un avantage. Pour s’imposer comme leaders mondiaux – avec toutes les retombées que cela implique dans les domaines médicaux, sociaux et économiques – l’enjeu est désormais pour elles de se développer, de traverser les frontières afin de conquérir de nouveaux marchés.
Pour gagner en compétitivité, les entreprises françaises de la Healthtech doivent réfléchir l’ensemble de leur chaîne de production à l’échelle internationale :
- Beaucoup font ainsi le choix d’externaliser leur R&D, aux États-Unis et de plus en plus souvent en Asie. La Chine notamment présente l’avantage d’une forte culture de l’expérimentation, qui permet aux entreprises de tester leurs innovations plus rapidement pour les adapter et les faire évoluer.
- L’achat de composants et réactifs se fait également beaucoup à l’étranger, là aussi majoritairement aux États-Unis et en Asie, qui mènent des politiques de prix compétitives.
- L’enjeu pour les entreprises est enfin de vendre leur produit à l’étranger, de pénétrer de nouveaux marchés en y développant des filiales de distribution – dans le contexte d’une course internationale à l’innovation.
La parfaite maîtrise des flux en devises étrangères est dans ce contexte un enjeu de compétitivité considérable pour les entreprises de la HealthTech.
Étude de cas : iBanFirst accompagne une entreprise de la HealthTech
Déjà bien implantée en Europe, aux États-Unis, au Brésil et en Corée du Sud, cette société d’appareillage médical développe un nouveau produit dans son centre de recherche au Canada. De nombreux flux en devises étrangères, donc – ce qui l’a menée à entrer dans une démarche de rationalisation de sa politique de paiement. Premier objectif : mieux se couvrir contre les aléas liés à l’appréciation ou dépréciation des devises.
iBanFirst lui a permis d’économiser 70 % des frais liés à ses paiements internationaux. L’entreprise a ainsi pu bénéficier :
- D’une protection contre le risque de change. Grâce à iBanFirst, elle bénéficie d’un taux verrouillé qui protège ses marges.
- Cette entreprise réalise désormais ses paiements transfrontaliers sur la plateforme iBanFirst. Elle bénéficie ainsi de taux de change et de taux interbancaires transparents, sans frais cachés ni commission sur le change et le mouvement.
- Parce qu’elle réalise plus de 100 000 euros de paiements internationaux par an, elle bénéficie d’un compte gratuit avec un IBAN personnalisé.
Catégories